Dominos 's Chanel bags 255
Gabrielle Chanel commence à créer des sacs en 1927, agacée de perdre ses sacs et d'être encombrée par eux, Chanel s'inspire des sacoches militaires portées en travers du corps pour créer en 1929 un sac à bandoulière pouvant se porter à la main ou à l'épaule grâce à sa chaîne réglable.
Ce sac mains libres représente un renouvellement des habitudes à l'époque car les sacs étaient traditionnellement portés à la main comme une pochette ou étaient équipés d'anses pour être porté sur le pli du coude ou sur l'avant-bras.
Ce sac mains libres représente un renouvellement des habitudes à l'époque car les sacs étaient traditionnellement portés à la main comme une pochette ou étaient équipés d'anses pour être porté sur le pli du coude ou sur l'avant-bras.
Cet usage est alors dans la continuité des idées de Coco Chanel prônant une mode pratique et simple, rendant les femmes plus libres de leurs mouvements.
Plusieurs légendes courent sur les sources d'inspiration de ce sac. Le matelassage en losanges surpiqués serait inspiré des vestes des lads ou des jockeys sur les champs de courses que fréquentait Chanel avec son ami Étienne Balsan, ou bien des coussins du sofa en suède de son appartement.
Son design aurait été suggéré par le tapis des chevaux. Les doubles maillons en forme de grains de riz allongé de la bandoulière rappelleraient les chaines de ceinture que portaient à la taille les sœurs et qui servaient à y attacher les différentes clefs de l'orphelinat de l'abbaye cistercienne d'Obazine où fut placée Gabrielle Chanel. Les couleurs et les matériaux s'inspiraient des vêtements des religieuses, le grenat de l'uniforme de Gabrielle à cette époque.
Plusieurs légendes courent sur les sources d'inspiration de ce sac. Le matelassage en losanges surpiqués serait inspiré des vestes des lads ou des jockeys sur les champs de courses que fréquentait Chanel avec son ami Étienne Balsan, ou bien des coussins du sofa en suède de son appartement.
Son design aurait été suggéré par le tapis des chevaux. Les doubles maillons en forme de grains de riz allongé de la bandoulière rappelleraient les chaines de ceinture que portaient à la taille les sœurs et qui servaient à y attacher les différentes clefs de l'orphelinat de l'abbaye cistercienne d'Obazine où fut placée Gabrielle Chanel. Les couleurs et les matériaux s'inspiraient des vêtements des religieuses, le grenat de l'uniforme de Gabrielle à cette époque.